Cosa si intende quando si parla di "politica dell’immigrazione" ?
Questa definizione comprende tutte le misure prese a livello statale al fine di regolare i flussi migratori e la legislazione che concerne le regolamentazioni da applicare in materia d’immigrazione.
Ogni stato dell’Unione ha, ancora oggi, una politica dell’immigrazione differente: infatti, non è mai stata istituita una politica dell’immigrazione valida a livello europeo. Gli stati membri dell’UE sono ben differenti l’un l’altro, hanno delle storie, così come delle culture, diverse e, di conseguenza, delle attitudini eterogenee anche nel modo in cui si decide di gestire i flussi migratori.
Qual è il ruolo dell'Europa?
Se il Trattato di Roma, con il quale nel 1957 si è istituita la CEE, non prevede alcuna disposizione da attuare a livello europeo nell'ambito dell'immigrazione, si inizia a vedere un cambiamento con il Trattato di Schengen del 1990.
Questo stabilisce, infatti, alcune norme comuni atte all'eliminazione dei controlli sulle frontiere interne: ad esempio, se per i soggiorni di breve durata viene concesso un visto uniforme, indipendentemente dallo Stato europeo in cui ci si trova, per i soggiorni più lunghi rimane invece sempre il singolo Stato ad avere la facoltà di applicare la propria legislazione in materia.
Con il Trattato di Maastricht del 1992 si inizia a parlare di politica di immigrazione a livello europeo, sebbene la cooperazione resti ancora limitata.
Solo nel 1997, con il Trattato di Amsterdam, si crea una "comunitarizzazione" della politica dell'immigrazione e solo con il Trattato di Lisbona del 2007 viene prevista la creazione di un sistema europeo di controllo delle frontiere.
Nonostante ciò, la competenza resta di tipo concorrente, in quanto, sebbene l'Europa abbia ottenuto di poter giocare un ruolo in materia di immigrazione, ad esempio stanziando aiuti finanziari agli Stati più interessati da questi flussi, come l'Italia, i singoli Stati hanno comunque mantenuto la maggior parte del potere decisionale in questo settore, sulle politiche da attuare all'interno delle proprie frontiere e su quanti immigrati ammettere.
Questa definizione comprende tutte le misure prese a livello statale al fine di regolare i flussi migratori e la legislazione che concerne le regolamentazioni da applicare in materia d’immigrazione.
Ogni stato dell’Unione ha, ancora oggi, una politica dell’immigrazione differente: infatti, non è mai stata istituita una politica dell’immigrazione valida a livello europeo. Gli stati membri dell’UE sono ben differenti l’un l’altro, hanno delle storie, così come delle culture, diverse e, di conseguenza, delle attitudini eterogenee anche nel modo in cui si decide di gestire i flussi migratori.
Qual è il ruolo dell'Europa?
Se il Trattato di Roma, con il quale nel 1957 si è istituita la CEE, non prevede alcuna disposizione da attuare a livello europeo nell'ambito dell'immigrazione, si inizia a vedere un cambiamento con il Trattato di Schengen del 1990.
Questo stabilisce, infatti, alcune norme comuni atte all'eliminazione dei controlli sulle frontiere interne: ad esempio, se per i soggiorni di breve durata viene concesso un visto uniforme, indipendentemente dallo Stato europeo in cui ci si trova, per i soggiorni più lunghi rimane invece sempre il singolo Stato ad avere la facoltà di applicare la propria legislazione in materia.
Con il Trattato di Maastricht del 1992 si inizia a parlare di politica di immigrazione a livello europeo, sebbene la cooperazione resti ancora limitata.
Solo nel 1997, con il Trattato di Amsterdam, si crea una "comunitarizzazione" della politica dell'immigrazione e solo con il Trattato di Lisbona del 2007 viene prevista la creazione di un sistema europeo di controllo delle frontiere.
Nonostante ciò, la competenza resta di tipo concorrente, in quanto, sebbene l'Europa abbia ottenuto di poter giocare un ruolo in materia di immigrazione, ad esempio stanziando aiuti finanziari agli Stati più interessati da questi flussi, come l'Italia, i singoli Stati hanno comunque mantenuto la maggior parte del potere decisionale in questo settore, sulle politiche da attuare all'interno delle proprie frontiere e su quanti immigrati ammettere.
Qu’est-ce que l’on entend quand on parle de « politique d’immigration » ?
Cette définition comprend toutes les mesures prises au niveau de l’Etat afin de régler les flux migratoires et la législation concernant les réglementations à appliquer en matière d’immigration. Chaque Etat de l’Union a, encore aujourd’hui, une politique d’immigration différente : en effet, personne n’a jamais établi une politique d’immigration valable au niveau européen. Les états membres de l’UE sont bien différents les uns des autres, ils ont des histoires différentes, des cultures très diverses et, par conséquent, des attitudes aussi très hétérogènes dans la façon dont ils décident de gérer les flux migratoires .
Quel est le rôle de l'Europe ?
Si le Traité de Rome, signé en 1957 et instituant la CEE, ne prévoit aucune disposition au niveau européen dans le cadre de l’immigration, on commence à voir un changement dans ce domaine lors du Traité de Schengen de 1990.
En effet, celui-ci établit certains principes communs visant à éliminer les contrôles sur les frontières internes à l’UE. Par exemple, en ce qui concerne les séjours de courte durée, on accorde un visa uniforme, indépendamment de l’Etat où on se trouve. En revanche, en ce qui concerne des séjours plus longs, c’est toujours l’Etat qui décide, en s’appuyant sur sa législation en matière d’immigration.
C’est à la suite du Traité de Maastricht, signé en 1992, qu’on commence à parler de politique d’immigration au niveau européen, même si à ce moment-là la coopération reste encore assez limitée.
En 1997, lors du Traité d’Amsterdam, on crée une « communautarisation » de la politique d’immigration.
C’est avec le Traité de Lisbonne en 2007 qu’on prévoit la création d’un système européen de contrôle des frontières.
La compétence reste pourtant de type concurrentiel. En effet, même si l’Europe a obtenu la possibilité de pouvoir jouer un rôle plus important qu’auparavant en matière d’immigration, en allouant des aides financières aux états les plus concernés par les flux migratoires, comme c’est le cas de l’Italie, chaque état a conservé la majorité de son pouvoir décisionnel dans le secteur (comme, par exemple, sur les politiques à mettre en œuvre à l’intérieur des frontières, nombre des migrants à admettre dans le pays).
Cette définition comprend toutes les mesures prises au niveau de l’Etat afin de régler les flux migratoires et la législation concernant les réglementations à appliquer en matière d’immigration. Chaque Etat de l’Union a, encore aujourd’hui, une politique d’immigration différente : en effet, personne n’a jamais établi une politique d’immigration valable au niveau européen. Les états membres de l’UE sont bien différents les uns des autres, ils ont des histoires différentes, des cultures très diverses et, par conséquent, des attitudes aussi très hétérogènes dans la façon dont ils décident de gérer les flux migratoires .
Quel est le rôle de l'Europe ?
Si le Traité de Rome, signé en 1957 et instituant la CEE, ne prévoit aucune disposition au niveau européen dans le cadre de l’immigration, on commence à voir un changement dans ce domaine lors du Traité de Schengen de 1990.
En effet, celui-ci établit certains principes communs visant à éliminer les contrôles sur les frontières internes à l’UE. Par exemple, en ce qui concerne les séjours de courte durée, on accorde un visa uniforme, indépendamment de l’Etat où on se trouve. En revanche, en ce qui concerne des séjours plus longs, c’est toujours l’Etat qui décide, en s’appuyant sur sa législation en matière d’immigration.
C’est à la suite du Traité de Maastricht, signé en 1992, qu’on commence à parler de politique d’immigration au niveau européen, même si à ce moment-là la coopération reste encore assez limitée.
En 1997, lors du Traité d’Amsterdam, on crée une « communautarisation » de la politique d’immigration.
C’est avec le Traité de Lisbonne en 2007 qu’on prévoit la création d’un système européen de contrôle des frontières.
La compétence reste pourtant de type concurrentiel. En effet, même si l’Europe a obtenu la possibilité de pouvoir jouer un rôle plus important qu’auparavant en matière d’immigration, en allouant des aides financières aux états les plus concernés par les flux migratoires, comme c’est le cas de l’Italie, chaque état a conservé la majorité de son pouvoir décisionnel dans le secteur (comme, par exemple, sur les politiques à mettre en œuvre à l’intérieur des frontières, nombre des migrants à admettre dans le pays).